suivant: Coordonnées « intrinsèques »
monter: Représentation « intrinsèque »
précédent: Représentation « intrinsèque »
  Table des matières
Considérons une courbe
du plan
2.
Supposons qu'on puisse la représenter à chaque instant t par f, un arc régulierE.1 paramétré dans le plan par
, paramètre indépendant du temps :
f : I = [0, 1]  |
 |
2 |
|
 |
 |
f ( ) = . |
(E.1) |
où
est le vecteur position d'un point de la courbe image
= f (I), repéré dans le plan cartésien par :
La longueur de l'arc entre
f (
) et
f (
) est définie par :
gf = | f'| = |
| est appelée la métrique de la courbe
relativement à la paramétrisation f.
On définit l'application abscisse curviligne par :
Elle est dérivable et
s' = | f'| > 0 ; elle admet donc une application réciproque
. Considérons l'application
h = fo
. Cette application, h, paramétrise la courbe
par l'abscisse curviligne :
h : (I)  |
 |
I  |
 |
2 |
s |
 |
= (s) |
 |
h(s) = f ( ) = . |
|
|
Dans cette représentation, la métrique de la courbe
est unitaire :
gh = | h'| = | | = 1 . |
|
|
|
On définit le vecteur tangent par
(s) = h'(s) qu'on notera par la suite
=
. On appelle la courbure de h au point s, le nombre
= - | h''(s)|. Le vecteur normal en s à h est alors donné par
= -
. Les deux vecteurs
et
forment une base locale orthonormée
E.2.
Figure:
Définition des grandeurs géométriques utilisées dans le texte.
|
suivant: Coordonnées « intrinsèques »
monter: Représentation « intrinsèque »
précédent: Représentation « intrinsèque »
  Table des matières
fred
2001-07-02