La base de notre étude est le train uniforme de marches droites. La vitesse stationnaire V0 du train de marche est donnée par une loi de conservation globale de la matière :
V0 = ![]() ![]() |
(B.1) |
En faisant usage de l'approximation quasi statique et en considérant les effets advectifs négligeables, l'équation [
] nous donne, en l'absence de désorption :
D ![]() |
(B.2) |
cm0(z) = - ![]() ![]() ![]() |
(B.3) |
Les équations aux limites (cf éq. [
] et [
]) conduisent à :
D ![]() ![]() ![]() ![]() |
= | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
(B.4) |
D ![]() ![]() ![]() ![]() |
= | - ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
(B.5) |
Am0 = A0 | = | ![]() ![]() ![]() ![]() |
(B.6) |
Bm0 = B0 | = | ceq0 + ![]() ![]() ![]() ![]() |
(B.7) |
L'équation de conservation de la matière
[
]
nous donne quant à elle, la vitesse stationnaire :
V0 =
F
.
Le train de marches est alors perturbé par une perturbation infinitésimale
telle que la position de la marche m s'écrive dans le repère mobile se déplaçant à vitesse V0 :
zm(x, t) = m
+
(x, t). Le champ de concentration sur les terrasses subit cette perturbation. Conformément à la théorie de la perturbation linéaire, le champ de concentration cm sur la terrasse m prend la forme :
cm(x, z, t) = cm0(z) +
(x, t) cm1(z).